Courbevoie : comment insuffler les valeurs des Jeux Olympiques aux plus petits ?
30 avril 2024 à 12h41 par Rubens Constantino
Lundi 29 avril, Alexandra de Navacelle de Coubertin, descendante de Pierre de Coubertin et présidente de l’Association Familiale Pierre de Coubertin a rendu visite à des élèves de primaire des Hauts-De-Seine. Un moment de partage et de transmission des valeurs olympiques, à moins de 100 jours des Jeux.
« Qu’est-ce que la flamme olympique ? », demande la présidente de l’Association Familiale Pierre de Coubertin... « C’est du feu ! » répond l’un des élèves de l’école Rouget de Lisle à Courbevoie (92).
Visiblement, il y a encore un peu de travail avant que les plus jeunes soit complètement familiarisés avec les Jeux Olympiques. Alors pour inverser la tendance, l’Association Familiale Pierre de Coubertin s’est rendue dans cet établissement, accompagnée de Sylvie Testuz, ancienne médaillée olympique et Lucie Cornudet, étoile montante du triathlon au Stade Français.
L’occasion pour une trentaine d’enfants de revenir sur l’histoire des Jeux Olympiques et découvrir de nouvelles disciplines comme le « pentathlon », épreuve favorite d’Alexandra de Navacelle de Coubertin, qui regroupe la course, le tir, l’escrime, l’équitation et la nage.
Un héritage olympique
« La résiliance, le dépassement de soi, l’excellence », ce sont tant de valeurs citées par la descendante du Père des Jeux modernes, Pierre de Coubertin. Lui-même, bien que controversé selon de récentes polémiques, croyait en ces valeurs et a toujours souhaité mettre le sport au même niveau que les enseignements plus intellectuels. C’est donc tout naturellement que l’Association Familiale Pierre de Coubertin s’est donnée pour mission de « perpétrer [...] l’importance de l’éducation, du sport et de l’excellence morale. »
Pour les membres de l’association et des intervenants présents, il est essentiel d’inspirer ces jeunes à pratiquer une activité sportive, de les amener à se dépasser, leur permettre de croire qu’ils peuvent, un jour, accéder au haut niveau.
Des paroles qui semblent avoir résonné dans toute la pièce, toutes les mains étaient levées lorsqu’on leur demande : « Qui aimerait faire les JO plus tard ? ».
Un moment de rêverie aussi, où certains enfants nous ont confié espérer devenir « footballeur classé mondial » ou encore « gamer ».